Douglas Hurley a toujours été grandement impliqué au sein de L’Île-Bizard–Sainte-Geneviève, tant au niveau professionnel que communautaire. Ce résident de l’arrondissement a eu le privilège de servir la population au sein du Service de police de la Ville de Montréal durant plus de 30 ans, d’abord en tant qu’agent de police puis comme agent d’intervention ainsi que commandant à la division des enquêtes criminelles. Motivé par le désir de sensibiliser la relève à l’importance d’être tournée vers leur collectivité, il fait son entrée en 1997 comme professeur au sein du programme de technique policière du Collège John Abbott.
Conscient de l’importance de l’esprit de communauté et du sentiment d’appartenance, il décide dans les années 1980 de consacrer son temps libre au bien-être des jeunes par l’entremise de divers clubs sportifs de L’Île-Bizard, de Sainte-Geneviève et de Pierrefonds-Roxboro. C’est ainsi que, durant 30 ans, il troque son uniforme de policier pour celui d’entraîneur de hockey, de baseball et de soccer en dehors de ses heures de travail. C’est en plus d’assurer la présidence du Club Optimiste de L’Île-Bizard, où il participe à organiser des guignolées locales afin de soutenir les résident.es démunis de l’arrondissement et aide les familles et les jeunes de la communauté à surmonter les inondations de 2017 et 2019.
C’est d’ailleurs la volonté de rassembler la communauté, d’offrir une plus grande sécurité aux résident.es de L’Île-Bizard–Sainte-Geneviève, de même que de préserver et perpétuer le patrimoine agricole et culturel de l’arrondissement, qui a motivé Douglas Hurley à faire le saut en politique. Pour ce père de deux enfants, le développement des différents quartiers doit aller de pair avec le respect du cadre bâti, de la culture maraîchère et des paysages bucoliques qui font la force et la fierté de la population. Il se réjouit à l’idée de pouvoir remplir cette mission tout en assurant les services de base aux côtés d’élu.es locaux engagés 24/7 envers leurs milieux de vie, même quand ça implique d’avoir les deux pieds dans l’eau durant les moments les plus difficiles. Il estime qu’une bonne gouvernance repose sur l’écoute, les consultations, le respect des citoyens, la présence et le sens des priorités.